Nom du projet

L’un sur l’autre

L’un sur l’autre—une intervention architecturale qui met en jeu aussi bien la particularité de l’espace du Bunker de PARISIAN LAUNDRY que l’expérience du spectateur en le propulsant dans une réflexion par rapport au mouvement de soi et d’autrui dans l’espace. La structure proposée par David résulte d’un travail intensif de construction in situ qui déstabilise toute forme d’appropriation a priori par rapport à l’habitation de l’espace.

J’ai voulu, encore une fois, faire un projet destiné à l’usage. Je ne pense à aucun usage en particulier. Qu’est-ce qu’on peut faire dans un tel espace ? Chacun en fera ce que bon lui semble, mais chacun aura aussi en tête les gestes des autres. On ne peut faire l’inventaire exhaustif de tous les usages possibles mais leur illimitation rend possible une expérience qui ne se réduit pas aux manipulations, gestes et déplacements que chacun peut faire ici. Il ne s’agit donc pas d’additionner ceux faits et imaginés par soi et les autres, mais de penser leur rencontre virtuelle à chaque instant. C’est en ce sens que ce projet prend forme dans une perspective d’usage commun, ou d’usage partagé, qu’on en fasse l’expérience seul ou en groupe.

L’un sur l’autre—une intervention architecturale qui met en jeu aussi bien la particularité de l’espace du Bunker de PARISIAN LAUNDRY que l’expérience du spectateur en le propulsant dans une réflexion par rapport au mouvement de soi et d’autrui dans l’espace. La structure proposée par David résulte d’un travail intensif de construction in situ qui déstabilise toute forme d’appropriation a priori par rapport à l’habitation de l’espace.

J’ai voulu, encore une fois, faire un projet destiné à l’usage. Je ne pense à aucun usage en particulier. Qu’est-ce qu’on peut faire dans un tel espace ? Chacun en fera ce que bon lui semble, mais chacun aura aussi en tête les gestes des autres. On ne peut faire l’inventaire exhaustif de tous les usages possibles mais leur illimitation rend possible une expérience qui ne se réduit pas aux manipulations, gestes et déplacements que chacun peut faire ici. Il ne s’agit donc pas d’additionner ceux faits et imaginés par soi et les autres, mais de penser leur rencontre virtuelle à chaque instant. C’est en ce sens que ce projet prend forme dans une perspective d’usage commun, ou d’usage partagé, qu’on en fasse l’expérience seul ou en groupe.